EXPOSÉ DE ALAN WATT

"BRIGANDS, BANQUIERS ET CLOCHARDS

(ROYAL INSTITUTE FOR INTERNATIONAL AFFAIRS / CFR)"

9 Novembre 2006

Droits d'Auteur: Alan Watt – 9 Novembre 2006 (hormis musique et citations littéraires)

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www.alanwattsentientsentinel.eu

Bonjour. Je suis Alan Watt, et aujourd'hui, on est le 9 novembre 2006.

Les prévisions pour les élections aux États-Unis sont finies, et les résultats sont que les gens ont voté pour un changement, et dieu sait que c'est ce qu'ils vont avoir.

"Do You Want to Know a Secret" by the Beatles

"Est-ce que tu veux savoir un secret" par les Beatles

Listen, do you want to know a secret
Do you promise not to tell, woh, woh, woh
Closer, let me whisper in your ear

Écoute, est-ce que tu veux savoir un secret
Vas-tu promettre de ne rien dire, woh, woh, woh
Plus proche, laisse-moi chuchoter dans ton oreille

Hier, j'ai mentionné que je parlerais probablement de quelques bases et fonctionnements du Conseil des Relations Étrangères, la filiale américaine du "Royal Institute of International Affairs" qui avait été mis sur pieds pour créer une forme de gouvernement mondial. Un système de gouvernement mondial dans le but de standardiser toutes les nations dans un seul système, essentiellement pour diriger les peuples par une bureaucratie socialiste, presque communiste, à niveaux multiples, pendant qu'une petite élite dominante, qui se croit la plus apte à diriger et la plus intelligente, va prendre toutes les décisions dès le sommet.

Pour ceux qui s'intéressent à ceci, ils peuvent lire "Tragédie & Espoir" ("Tragedy & Hope") par l'historien du Conseil des Relations Étrangères, qui le présente et remplit tous les blancs dans l'histoire entre les dates et les batailles  qu'on vous donne à l'école, et il donne les raisons pourquoi elles se passaient. Ils vous dit les noms des familles impliquées, qui tiraient les ficelles dans tous les pays, tous les pays du Commonwealth britannique et des États-Unis. maintenant, cela va encore plus loin puisqu'ils admettent des peuples non-anglophones. Ils ont des quartiers généraux au Pakistan et dans tout autre pays.

Les journaux de tous les pays leur appartiennent. Un de leurs premiers mandats était de reprendre toutes les avenues d'information. Tous les média leur appartiennent aussi. Ils sont impliqués dans la programmation du type fictif qu'on reçoit. C'était aussi eux qui promouvaient des professorats aux universités pour que leurs propres hommes puissent enseigner les étudiants, surtout aux universités "Ivy League", qui eux deviennent, finalement les bureaucrates de haut niveau dans les gouvernements fédéraux. Nous vivons donc dans une énorme toile d'araignée qui s'étend sur toute la planète. Tous les petits filaments sont reliés dans un réseau global. Ils contrôlent aussi tous les systèmes bancaires - une autre partie importante de tout ceci.

Professeur Carroll Quigley avait accès aux rapports du Conseil des Relations Étrangères à New York City, et on lui avait demandé de les mettre à jour, de les réviser en tant qu'historien approuvé pour le groupe. Il a écrit "Tragédie & Espoir"  ("Tragedy & Hope"), un livre qui avait été racheté assez vite et les plaques avaient été détruites. Mais maintenant, il est publié à nouveau, et vous pouvez le trouver sur l'internet.

Lorsqu'il parle de la montée des tensions, qui avaient été manipulées par le même groupe des deux côtés, entre l'Union Soviétique (qui était derrière le tout et était supporté financièrement) et l'Ouest, pour créer une forme de changement dialectique dans les deux peuples pour en arriver finalement à la synthèse en vigueur aujourd'hui, où est et ouest sont connectés dans le nouveau système. Il explique ceci et parle de la préparation, dès avant la deuxième guerre mondiale, et des essais des factions communistes pendant l'ère de McCarthy aux États-Unis. Ceci vient de son propre livre.

Normalement, je ne lis pas de livres ici. Je préfère que les gens intéressés aillent se procurer les livres eux-mêmes et qu'ils les lisent s'ils sont vraiment, vraiment intéressés, mais, vous voyez, ceci n'est pas une conspiration en soi. C'est un genre de conspiration ouverte, comme H. G. Wells l'appelait lui-même, et il devait le savoir, puisqu'il était un propagandiste pour le groupe.

Ceci est pris directement de la page 949 de Tragédie & Espoir" qui parle des États-Unis.

"La version de droite radicale de ces événements, écrite par John T. Flynn, Frieda [Whitley] et d'autres, était encore plus loin de la vérité que les versions de [Bodensee] ou de Bentley, même si elle a un impact considérable sur l'opinion américaine, et les relations américaines avec d'autres pays dans les années de 1947 à 1955.

Ce conte de fées de droite radicale, qui est maintenant un mythe folklorique accepté par beaucoup de groupes américains, dessinait l'histoire récente des États-Unis concernant la réforme interne et des affaires étrangères comme un complot bien organisé d'éléments de l'extrême gauche qui opérait directement de la Maison Blanche et qui contrôlait tous les moyens de publicité principaux des États-Unis, pour détruire le mode de vie américain, basé sur des entreprises privées, le laissez-faire et l'isolement, au nom d'idéologies étrangères, comme le socialisme russe et le cosmopolitisme (ou l'internationalisme) anglais. Ce complot, s'il fallait donc croire en ce mythe, aurait fait son travail par des moyens de publicité comme le The New York Times et le Harold Tribune, le Christian Science Monitor et le Washington Post, l'Atlantic Monthly et l a revue Harper, et avait, à sa base, les théoriciens aux yeux sauvages et aux cheveux ébouriffés des socialistes de Harvard et de l'école d'Économie de Londres. Ils étaient décidés de mener les États-Unis dans la deuxième guerre mondiale aux côtés de l'Angleterre (le premier grand amour de Roosevelt) et la Russie soviétique (son deuxième amour) pour détruire chaque élément raffiné de la vie américaine. De ce schéma planifié consciemment  faisait partie l'invitation au Japon d'attaquer Pearl Harbour, et la destruction de Chiang Kai-shek, tout en creusant la vraie force de l'Amérique en dépensant excessivement pour déséquilibrer les budgets."

Donc, il appelle tout ceci un conte de fées, mais alors, à la page 950, il continue ainsi:

"Ce mythe, comme tous les fables, contient en fait un noyau de vérité."

Écoutez ceci:

"Il existe, et a existé depuis des générations, un réseau anglophile qui opère d'une certaine mesure, comme les communistes, selon l'image qu'en a l'extrême-droite. En fait, ce réseau, que l'on pourrait identifier comme Groupes de la Table Ronde, n'a pas d'aversions à coopérer avec les communistes ou tout autre groupe, et il le fait fréquemment.  Je suis au courant des opérations de ce réseau parce que je l'ai étudié pendant vingt ans, et pendant deux ans, au début des années 1960, j'avais la permission d'examiner ses papiers et ses archives secrets. Je n'ai pas d'aversions vis-à-vis d'eux ou de la plupart de ses buts, pendant une grande partie de ma vie, j'ai été proche de lui et de beaucoup de ses instruments. J'ai fait des objections, aussi bien dans le passé que récemment, à quelques unes de ses politiques, notamment à sa croyance que l'Angleterre est un pouvoir atlantique plutôt qu'européen et qu'elle doit être associée, voire fédérée aux États-Unis et qu'elle doit rester isolée de l'Europe, mais en générale, ma différence d'opinion la plus importante est qu'elle souhaite rester inconnue, alors que je crois que son rôle dans l'histoire est assez significatif pour mériter d'être connu."

Ceci est une litote. Ce réseau emboîté avait été crée en Angleterre vers la fin des années 1800 par Lord Rothschild qui l'a supporté financièrement; Cecil Rhodes avait légué à Lord Rothschild ses possessions avec la condition que ce soit opéré selon les lignes jésuites. Le but des lignes d'opération jésuites dont ils parles était de complètement couvrir les traces en faisant les gens se battre, un groupe contre l'autre sans savoir que derrière, il y a un seul groupe qui manipule le tout, finance le tout, et continue à l'agiter pour le diriger vers un objectif, un résultat spécifique.

Carroll Quigley, qui était l'homme qui avait choisi, ou à qui on avait dit de choisir, Bill Clinton pour la bourse de Rhodes, était un membre de ce groupe. Il était un membre de l'intelligentsia, et comme il le voyait lui même, même la publication de ce livre aurait pu causer sa chute, puisqu'il serait sorti en pensant que le public était prêt à accepter le fait qu'une intelligentsia le dominait en secret - et il pensait que le public allait probablement l'accepter. Aujourd'hui, il n'aurait pas de problèmes, puisque le public est totalement dominé et ne peut même pas voir les traînées dans le ciel au-dessus de leur tête qui provoquent le réchauffement global. Ils croient à la propagande sur la télé qu'il y a réchauffement global par notre faute, bien sûr. Donc s'il l'essayait aujourd'hui, il n'y aurait pas de problèmes. Ils ne feraient que bailler et changer la station pour du sport, ou quelque chose.

À la page 950, il dit:

"Au risque de me répéter, je vais faire un résumé de l'histoire ici, parce que la branche américaine de cette organisation (parfois appelée "Eastern Establishment" (Établissement de l'Est)) a joué un rôle très significatif dans l'histoire des États-Unis pendant la dernière génération. Les groupes de la Table Ronde étaient des groupes de discussion et de lobbying à moitié secrets, organisés par Lionel Curtis, Philip H. Kerr, qui est Lord Lothian, et Sir William S. Marris en 1908-1911. Ceci était fait a nom de Lord Milner, l'administrateur dominant de la Fondation Rhodes pendant les deux décennies de 1905 à 1925. Le but original de ces groupes était de rechercher la fédération du monde anglophone selon les directives de Cecil Rhodes et de William T. Stead; et le financement pour le travail d'organisation venait originairement de la Fondation Rhodes."

Il fait une liste de tous les membres de chaque génération après ceci. Maintenant, hormis la création du Conseil des Relations Étrangères pour les États-Unis, plutôt que de l'appeler -- ils n'auraient pas très bien pu l'appeler "Institut Royal des États-Unis", alors ils l'appelaient "Conseil des Relations Étrangères" -- ils avaient aussi créés le "IPS" pour les régions du bord du pacifique, et ceci était pour en arriver à une insurrection communiste en extrême orient, puisque le moyen le plus rapide pour rassembler beaucoup de peuples et tribus différents est de leur donner un idéal à défendre, un ennemi commun, et c'était ceci qui était derrière la guerre au Vietnam. Les étrangers entraient. Toutes les tribus éparpillées s'unissaient. Il n'y avait plus qu'un parti organisé et bien financé - le parti communiste. Ils centralisaient le gouvernement. Les américains se retirent, et le gouvernement centralisé essentiellement prend les mêmes formes que ce qu'on appelait "gouvernement démocratique". Le même processus de standardisation.

Tout ceci était provoqué, planifié, et des familles intergénérationnelles, formées dans les écoles Ivy League des États-Unis et de l'Angleterre,  y travaillait sans fatigue. On les envoyait aussi du Canada, de l'Australie et de la Nouvelle Zélande. Tous de grands joueurs, et ces gars étaient derrière la création du système soviétique, du système en Chine, du Vietnam, et partout ailleurs. L'objectif est d'unifier le monde.

Maintenant, on reprochait la même chose aux Jésuites, d'essayer d'unifier leur ancien ordre mondial par des subterfuges, en provocant des événements pour lesquels les gens des groupes du devant, qui se battaient entre eux, étaient identifiés et haïs, mais personne ne savait que les jésuites étaient les meneurs. Ici, c'est la même technique qui est utilisée, avec les membres de ces groupes, membres qi sont bien éduqués et choisis à l'université pour les entrainer pour leurs positions.

On peut même retourner aussi loin que Lawrence d'Arabie qui, dans son propre livre, "Les Sept Piliers de la Sagesse", parle de sa sélection à l'Université de Cambridge, et de son immersion dans les études d'araméen et d'arabe pour son rôle important qui avait été planifié des années en avance.

Ils planifient le monde toujours beaucoup à l'avance, comme un gros plan de commerce, et ils observent le tout se réaliser. Ils nous fournissent nos pensées. Ils nous fournissent nos opinions. Les grosses têtes à la télé, tous les experts qui parlent de tous les sujets possibles, sont destinés à tordre notre esprit d'une certaine façon, pour que nous acceptions encore une perte de droits, ou que nous acceptions quoi que ce soit d'autre qu'ils nous imposent. La fusions de l'Europe était leur plan et leur idée. Ils étaient derrière tout cela, de même que derrière la fusion et l'unifications des pays des Amériques. La troisième de leurs idées était bien sûr celle des régions du bord du pacifique.

Karl Marx était financé par la même foule, juste avant que Cecil Rhodes n'arrive. Ils étaient déjà en route alors, et Karl Marx écrivait de l'unification de ces trois, on pourrait dire, continents.

À la page 951 il parle du financement qui avait été mis sur pieds.

"L'argent pour les activités largement ramifiées venait originairement des associés et partisans de Cecil Rhodes , et principalement de la Fondations Rhodes elle-même, ainsi que d'associés riches, comme les frères Beit, de  Sir Abe Bailey, et (après 1915) de la famille Astor.  Depuis 1925, il y a eu des contributions substantielles d'individus riches et de fondations et sociétés associées avec la fraternité internationale des banques, spécialement du fonds Carnegie du Royaume-Uni et d'autres organisations associées avec J. P. Morgan, les familles Rockefeller et Whitney, ainsi que des associés des frères Lazard, de Morgan Grenfell et compagnie.

Le squelette principal de cette organisation se formait le long de la coopération financière déjà existante qui courait de de la banque Morgan à New York à un groupe de financiers internationaux à Londres, guidés par les frères Lazard. Milner lui-même, en 1901, avait refusé une offre fantastique qui lui aurait payé 100,000 par an, en devenant un des trois partenaires de la Banque Morgan à Londres en remplacement du jeune J. P. Morgan, qui était parti de Londres pour rejoindre son père à New York. À la fin du compte, le poste vacant était rempli par E. C. Grenfell, et ainsi la filiale de Londres de Morgan finissait par être connue sous le nom de Morgan Grenfell et Compagnie.

Milner, à la place, devint le directeur d'un nombre de banques publiques, principalement la Banque d'Actions de Londres (London Joint Stock Bank), le précurseur de la Midland Bank. Il devint une des forces financières et politiques les plus grandes en Angleterre, avec ses disciples placés stratégiquement dans toute l'Angleterre et dans d'autres endroits importants, comme les éditeurs du Times et du Observer, les gérants directeurs des frères Lazard, divers postes administratives, voire des positions au cabinet."

 Cà, c'est des positions au parlement.

"Des ramifications étaient établies dans la politique, les hautes finances, aux périodiques des universités d'Oxford et de Londres, dans le service civil et les fondations exemptes de taxes."

 En retournant vers l'arrière, nous découvrons les traces de ce groupe jusqu'à un de ses membres, qui, bien avant Cecil Rhodes, réclame le crédit d'avoir commencé toutes ces balivernes. Ce n'était qu'un seul homme qui se montrait dans l'histoire, et il n'agissait que dans un des pays principaux, Adam Weishaupt. Adam Weishaupt, qui est bien connu pour le terme, l'agitation tu terme "illuminati", était en réalité un membre de ce même groupe qui existait avant Cecil Rhodes.

Ces gars ne commencent pas pour ensuite s'arrêter. C'est une ligne continuelle à travers l'histoire, et Weishaupt disait qu'ils allaient créer des fondations, de grandes fondations de richesses, qui seraient intouchables par le public puisqu'elles paraîtraient en tant que fondations de charité, mais les montants de richesses qu'elles accumuleraient seraient phénoménaux. Ces richesses seraient essentiellement utilisées pour financer les groupes de front, les ONG, les organismes non-gouvernementaux, comme on les appelle aujourd'hui, qui alors mettraient de la pression pour les demandes publiques envers les parlements, les présidents et les congrès, et ce serait ainsi qu'ils changeraient les lois pour en arriver à un procès de standardisation à travers toute la planète. Nous trouvons que les établissements bancaires, et ceux qui deviennent les PDG de banques et ne font que bouger de banque en banque, entrent et sortent de la politique, sont de grands joueurs dans ceci.

Quigley dit dans son livre, à la page 952:

"La branche de new York était dominée par les associés de la Banque Morgan. par exemple, en 1928,  John W. Davis était le président du Conseil des Relations Étrangères, Paul Cravath en était le vice-président, et il y avait un conseil de treize autres, parmi lesquels figuraient Owen D. Young, Russell C. Leffingwell, Norman Davis, Allen Dulles, George W. Wickersham, Frank L. Polk, Whitney Shepardson, Isaiah Bowman, Stephen P. Duggan, et Otto Kahn.  

Pendant toute son histoire, le Conseil a été associé avec les Tables Rondes de l'Amérique, comme Beer, Lippmann, Shepardson, et Jerome Greene.  Les figures académiques étaient celles liées à Morgan, comme James T. Shotwell, Charles Seymour, Joseph P. Chamberlain, Philip Jessup, Isaiah Bowman et, plus récemment, Philip Moseley, Grayson L. Kirk, et Henry W. Wriston. Les contrats de Wall Street avaient originairement été créés à partir de l'influence de Morgan sur le maniement des dotations académiques de grande envergure."

On parle ici des dotations universitaires.

"Dans le cas des plus grandes de ces dotations, celle de Harvard, l'influence était usuellement exercée indirectement, par "State Street" à Boston qui, pour une grande partie du 20ème siècle, passait par le banquier bostonien, Thomas Nelson Perkins. Un petit groupe de cabinets d'avocats de la Wall Street, dont les figures principales étaient Elihu Root, John W. Davis, Paul D. Cravath, Russell Leffingwell, les frères Dulles et, plus récemment, Arthur H. Dean, Philip D. Reed, and John J. McCloy, était associé étroitement à cette influence de Morgan.

Sur cette base, qui était financière à l'origine et qui peut être retracée à George Peabody, s'est construite, dans le 20ème siècle, une structure de pouvoir entre Londres et New York, qui s'est insérée profondément dans la vie universitaire, la presse, et la pratique de la politique étrangère. En Angleterre, son centre était un Groupe de Table Ronde, pendant qu'aux États-Unis, c'était J. P. Morgan et Compagnie, respectivement ses filiales locales à Boston, Philadelphia et Cleveland. Quelques exemples plutôt contingents des opérations de cette structure sont très révélateurs, justement parce qu'ils sont contingents. Par exemple, elle a créé à Princeton une copie acceptable du quartier général principal du Groupe de Table Ronde d'Oxford, le "All Souls College" ("Collège de Toussaints").

Cette copie, appelée Institut d'Études Avancées ("Institute for Advanced Study"), et connue le mieux, peut-être, pour avoir été le refuge de Einstein, Oppenheimer, John von Neumann et George F. Kennan, avait été organisée par Abraham Flexner de la Fondation Carnegie et l'administration d'éducation générale de Rockefeller, après qu'il avait vécu les plaisirs de Toussaints (All Souls) pendant son service en tant que chargé d'enseignement du Rhodes Mémorial à Oxford. Les plans étaient largement dessinés par Tom Jones, un des intrigants les plus actifs et administrateur de fondation de la Table Ronde.

La branche américaine de cet "´Établissement Anglais" exerçait beaucoup de son influence par les journaux américains (Le New York Times, le New York Herald Tribune, le Christian Science Monitor, la Washington Post, et le Boston Evening Transcript lamenté).

En fait, l'éditeur du Christian Science Monitor était le correspondant en chef américain de La Table Ronde, et Lord Lothian, l'éditeur original de La Table Ronde et plus tard le secrétaire de la Fondation Rhodes et l'ambassadeur de Washington, était un écrivain fréquemment publié dans le Monitor. On pourrait mentionner que l'existence de cet axe Anglo-américain de la Wall Street est très évidente, une fois signalée. Cela se reflète dans le fait que des lumières de la Wall Street, telles que John W. Davis, Lewis Douglas, Jock Whitney, et Douglas Dillon étaient nommés ambassadeurs américains à Londres."

Donc voici les groupes financier interconnectés dans ce réseau de finances qui subventionne, ce qui est assez facile à faire si vous possédez tout l'argent. Vous créez tout ce que vous voulez en le subventionnant. Vous faites de la promotion pour votre programme et soudoyez des gens pour ouvrir des portes à ceux que vous voudriez faire passer au sommet. Ce groupe est toujours aussi fort en train d'avancer que jamais, c'est intergénérationnel.

À la télévision canadienne, en 2005, le Conseil des Affaires Étrangères a paru pour la première fois officiellement en tant que groupe, sur la télé nationale, la CBC, pendant le moment des nouvelles, et ils ont dit que c'était eux derrière les plans de unification des pays des Amériques et qu'ils avaient esquissé les plans pour les politiciens. L'argent, les hautes positions de pouvoir, les médias, la politique, tout leur appartient. Le gouvernement mondial.

Jusqu'à ce point environ, Quigley parle principalement de la connexion Anglo-américaine, mais plus loin dans le livre, il s'occupera de la connexion de la région du Pacifique qui finira par unifier les pays du Pacifique, y inclus l'Australie.

À la page 953 il décrit comment cela s'est ramifié assez tôt pour aussi y inclure l'Europe. Voici ce qu'il dit:

"Ce double réseau international formé par les groupes de la Table Ronde, le noyau secret ou mi-secret de l'Institut des Affaires Internationales, s'est étendu en un troisième réseau en 1925, organisé par les mêmes gens avec les mêmes motifs. Encore une fois, le génie en était Lionel Curtis, et les groupes de la Table Ronde antécédents ainsi que les Instituts des Affaires Internationales allaient constituer le noyau de ce nouveau réseau.

Néanmoins, cette nouvelle organisation pour les affaires du Pacifique s'étendait sur dix pays, alors que les groupes de la Table Ronde n'existait que dans sept. Les nouvelles additions, finissant par être la Chine, le Japon, la France, les Pays-Bas, et la Russie Soviétique, créèrent leurs conseils du Pacifique en partant à zéro. Au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande, les conseils du Pacifique étaient créés, s'emboîtant dans et dominés par les Instituts des Affaires Internationales.

En Angleterre, Chatham House servit comme centre anglais pour les deux réseaux, pendant qu'aux États-Unis, les deux étaient des créations parallèles (et non pas subordonnées) des alliés de la Wall Street de la Banque Morgan. Le financement venait des mêmes groupes de banquiers internationaux, leurs subsidiaires commerciaux et des sociétés industrielles. En Angleterre, Chatham House était financé pour les deux réseaux par les contributions du Sir Abe Bailey, la famille Astor..."

Ceux d'entre vous qui étaient dans la théosophie, vous avez entendu parler d'Ann Bailey.

"…la famille Astor, et des financements additionnels acquis principalement par les pouvoirs de persuasion de Lionel Curtis. Les difficultés financières, pendant la dépression de 1929 à 1935, des conseils des IRP (Instituts des Relations du Pacifique) dans les territoires anglais ont résulté dans un effort de sauver de l'argent très révélateur, lorsque l'Institut des Affaires Internationales absorba le Conseil du Pacifique local, les deux ayant été, d'une façon, des façades chères et inutiles pour les groupes de la Table Ronde. Les buts principaux de cette organisation élaborée, mi-secrète, étaient en grande partie admirables:..."

Donc voici un homme qui était tout pour, un élitiste lui-même.

"…coordonner les activités et perspectives de l'entier monde anglophone en un (qui serait, c'est vrai, principalement celui du groupe de Londres);  veiller à maintenir la paix; aider les régions retardées, coloniales et sous-développées à avancer vers la stabilité, l'ordre public et la prospérité, le long de lignes plus ou moins similaires que celles enseignées à Oxford et l'université de Londres (spécialement l'École d'Économie  et les écoles d'Études Africaines et orientales)."

Donc, nous faisons face à un groupe énormément puissant qui promeut la démocratie comme si c'était quelque chose de créé par les gens eux-mêmes, pendant qu'eux mêmes étaient tout, sauf démocratiques. ILS FONT TOUT DANS LE NOIR, EN CACHETTE.

Eux-mêmes ne croient pas en la démocratie, mais ils voudraient que nos y croyions. Il faut que nos croyions au mythe, vous voyez, pour leur permettre d'en arriver à leurs buts. Le meilleur des esclaves est celui qui pense qu'il est libre, et voici tous ces gens hyper-riches, ces banquiers hyper-riches, et le familles aristocrates qui décident tout sur nous tous.

Ils croient que c'est eux le sommet de la pile darwinienne, alors que nous autres ne sommes que de l'ADN de camelote. Ils étaient derrière toutes les guerres, et aussi derrière celles du moment, puisqu'ils doivent standardiser le monde entier selon leur système unique. Tout ce bazar sur le réchauffement global est un grand tapage pour faire peur, financé ou doté par eux pour nous faire changer notre mode de vie, pour nous rassembler dans les régions d'habitat où l'on vivra serrés comme des sardines dans une boîte, en nous bousculant l'un l'autre, pendant que eux auront reboisé les paysages pour eux-mêmes - pour leur propre progéniture, qui pourra y aller en hélicoptère pour leurs boums de fin de semaine.

C'est "le meilleur des mondes", une société contrôlée. Une société totalement contrôlée, et finalement, nous ne serons même plus à même de quitter la région à laquelle nous avons été assignés. En fait, ceci est déjà en route, avec les projets de loi, dans la plupart des pays, concernant les cartes d'identité et le rayon de déplacement à l'intérieur. C'était la même chose que le système soviétique, puisque le système soviétique était le "grand essai" pour tout ce qui se passe aujourd'hui. Le système soviétique n'était pas une unité indépendante rebelle. Il avait été créé par des gens à Londres, en Angleterre, qui possédaient déjà ce que nous appelons le "système capitaliste".

Pendant la deuxième guerre mondiale, Chatham House, leur quartier général en Angleterre, était transformé dans les bureaux du Service Secret officiel du pays, ce qui nous indique que ceci n'est pas seulement une organisation indépendante puissante - elle est reconnue et autorisée. Elle travaille pour le sommet de la couronne de Londres. Pour ceux qui sont curieux concernant l'impact de ce groupe, et les événement mondiaux majeurs des dernières cent années, devraient lire "Tragédie et Espoir" eux-mêmes.

Vous allez découvrir que chaque politicien majeur dans chaque pays, y inclus les hauts bureaucrates, les professeurs et les éditeurs des journaux sont ou bien des membres d'une branche de L'Institut Royal des Affaires Internationales, pour les pays du Commonwealth, ou bien des membres du Conseil des Affaires Étrangères, pour les pays non-membres du Commonwealth. Il n'y a guère d'exceptions, et vous allez découvrir que la Commission Trilatérale en sera une autre branche, dédiée aux trois blocs de commerce principaux du monde, qui - officiellement - entrera en existence vers 2010-2012, sous un seul gouvernement mondial.

"Everybody wants to rule the world" by Tears For Fears

"Tout le monde veut diriger le monde" par tears for Fears

Welcome to your life
There's no turning back
Even while we sleep
We will find you
Acting on your best behavior
Turn your back on mother nature
Everybody wants to rule the world

Bienvenue à ta vie
il n'y a pas de retour
même pendant que nous dormons
nous te trouverons
montre to comportement le meilleur
tourne ton dos à mère nature
tout le monde veut diriger le monde

Ces gens ont leurs doigts dans chaque casserole. Ils sont présents derrière les porte-paroles des Nations Unies. Ils financent les Nations Unies. En fait, les Nations Unies ne sont en réalité qu'une organisation de façade pour ce groupe élitiste particulier qui utilise "La République" de Platon comme manuel, presque, comme fascicule d'entraînement.

Souvenez-vous que Platon, qui était un aristocrate lui-même et qui appelait les gens "çA", avait dit que "l'on pourrait élever "ça" pour des tâches spéciales, par reproduction sélective, comme des animaux". Et puis, on se demande pourquoi cette hâte, aujourd'hui, de créer de nouveaux types d'humains plutôt que de guérir des maladies. Ce n'est qu'un hasard, ouais, ouais.

La société secrète, sous tous ses noms, a été présente depuis des milliers d'années. Des milliers d'années, et beaucoup des membres de l'organisation secrète n'en connaissent même pas l'histoire. Ils n'en on pas besoin, voyez. En fait, ils n'en doivent pas savoir beaucoup du tout pour le rôle particulier qu'ils ont à remplir.

Nous ne devrions pas non plus oublier que Cecil Rhodes lui-même, et beaucoup d'autres appartenant au groupe, partaient dans le monde entier pour saisir les ressources naturelles et toutes les richesses de la planète au profit de leurs propres corporations et fondations. Rhodes lui-même s'octroyait le commerce de l'or et des diamants en Afrique, en association avec DeBeers. On voit ceci aujourd'hui dans les grandes corporations internationales, comme Halliburton. C'est comme une pyramide de beaucoup de sociétés à qui on donne des contrats dans le monde entier - spécialement les contrats majeurs des États-Unis.

On se retrouve avec Albert Pike en franc-maçonnerie. On a parlé de la création de ces fondations et de la nécessité d'utiliser tous les moyens, y inclus la manipulation des bourses, pour en arriver au succès et pour acquérir les richesses afin de devenir "les maîtres sur les maîtres du monde".

Et c'est si drôle, dans les média - les gens se fient aux média même s'ils pourraient relire, étudier et rechercher tout ceci par eux-mêmes - les gens que vous voyez dans les média, les animateurs - vous découvririez qu'ils sont membres de ces organisations. Les gens pourraient faire ces recherches, et pourtant, ils sont tellement bien entraînés qu'ils vont écouter les nouvelles informations et puis se tourner vers les média pour voir si cela est confirmé. N'est-ce pas bizarre? C'est parce qu'ils sont entraînés de penser que si cela est dit à la télé, cela doit être vrai. Si ce n'est pas dit à la télé, cela ne vaut pas la peine de le savoir. Ils ont bien été endoctrinés ainsi.

Ils ont accepté que les média sont la pour penser et faire les raisonnements pour eux, comme s'ils formaient une partie officielle du gouvernement. C'est naturel, comme la loi de la gravité. Cela existe tout simplement. Ils ont oublié que les médias sont en mais privées, en mais privées. Les parents et grands-parents se souviennent probablement des machinations des grands éditeurs et leurs associations au grand commerce banquier, et le fait que les grands éditeurs on tendance à être adoubés par la Reine. Pourquoi? Pourquoi ceci est-il si important, spécialement puisque c'est contre la constitution des États-Unis que des citoyens américains se fassent adouber par des monarchies étrangères? Néanmoins, les grands joueurs y vont tous pour le faire.

C'est étonnant d'observer ceci, les gens qui ne savent pas additionner deux et deux parce que les média ne le leur disent pas. Ils voudraient qu'on leur explique comment le monde fonctionne réellement de manière simple et enfantine. Le boulot des média est de vous maintenir dans le même pays que dans "Le Magicien d'Oz", dans un état d'infantilisme permanent où il y a un grand frère ou un grand père qui s'occupe de tout pour vous, qui prend toutes les décisions pour vous, et qui vous dit ce qui devrait vous inquiéter et quand. Oh mon dieu, maintenant, c'est le réchauffement global. Il faudra qu'on change tous notre mode de vie. Il faudra qu'on déménage tous dans les régions d'habitat pour vivre les uns sur les autres, et on organisera votre vie pour vous parce que vous n'en êtes tout simplement pas capables. Vous êtres trop bêtes.

Voilà le message qu'on vous donne, et c'est vrai. Les gens sont devenus si lobotomisés, et je veux dire toutes les implications de ce mot. Je crois qu'ils ont été lobotomisé. Je crois que nous avons tous souffert les effets des inoculations. Ici à nouveau, les inoculations ont commencé comme entreprises philanthropes, ce qui devrait être suspect pour commencer. Puis il y a le fait que des livres par de grands joueurs ont été publiés, sur les moyens de lobotomiser le public pour le rendre plus flexible et obéissant.

Les effets de l'autisme se sont accrus énormément, et le seul graphique qui se superpose est celui des programmes d'inoculation qui vont avec. Les deux graphiques sont les mêmes, mais puisque les média ne vont pas présenter ce qui est évident, nous le déboutons. Ne regardez que le couvercle sur les discussions concernant les pulvérisations aériennes avec lesquelles on nous bombarde depuis les années 90 jusqu'aux temps présents et les effets que cela a sur les gens qui souffrent de bronchites et qi sait quoi d'autre.

Regardez les écritures de Brzezinski, un autre grand joueur, et notez les organisations auxquelles il appartenait. Je viens juste d'en parler, et  Brzezinski disait dans son propre livre que "bientôt, une technologie qui influence le comportement serait utilisée sur le public.", et il en parlait dans "L'Ère Technotronique", comme on l'appelait, où ils utiliseraient, littéralement, des techniques du type HAARP pour manipuler les émotions et les pensées de chacun. Vous en voyez les effets tout autour de vous. On l'utilise.

Vous allez découvrir que des gens comme Brzezinski ne disent pas de telles choses sans le penser. Ils pensent ce qu'ils disent, et ils vont le faire. C'est le public qui fera les excuses en disant "eh bien, il ne le pense certainement pas. ils ne peuvent pas vraiment penser cela." C'est la même chose lorsque le Département du Contrôle de l Population des Nations Unies sort ses statistiques et bien sûr sonne les alarmes, oh mon dieu, on est inondé de gens, et ils apparaissent partout chaque seconde de chaque jour. Il faut faire quelque chose. Eh bien, ils sont en train de faire quelque chose. C'est juste qu'ils ne voudraient pas tant vous terrifier, au cas ou vous réagissiez excessivement et les attaquiez si vous découvriez qu'ils sont derrière cela.

ILS SONT EN TRAIN DE DÉPEUPLER LA PLANÈTE.

Il a été décidé, pour l'Afrique, que ce serait une mort rapide. Pour l'Europe et l'ouest, ce serait des maladies lentes, dégénératives, qui rendraient des partenaires inéligibles pour le mariage ou pour la reproduction. Et donc nous avons la fatigue chronique, la fibromyalgie. Nous avons tous les virus de Epstein-Bar. Il y a tout un tas de choses là dehors. Des termes différents pour des choses qui en réalité sont identiques. Ils sont sortis tous en même temps, du néant. Et puis, nous nous ruons sur les remèdes charlatans qu'on nous offre, puisqu'une maladie est très réelle, et malheureusement il y a beaucoup de gens qui vont profiter de tous les malheurs des individus. Il y a beaucoup de profit à réaliser de la misère.

Il faut noter que cette organisation s'étend aussi dans les sciences, toutes les branches scientifiques, et qu'elle ouvre les portes à ce que ses propres gens favoris arrivent au sommet de ces organisations scientifiques. Ils définissent la direction en psychologie. Ils définissent la direction en psychiatrie. Ils définissent la direction en médecine. Ils définissent les direction de toutes les branches scientifiques. Très puissants. Tout ce qui a à voir avec le contrôle de la société peut être retracé au même groupe et à ses membres - ils font entrer les membres par les bourses de Rhodes.  Beaucoup de gens leur appartiennent aujourd'hui, mais ils les font entrer de tous les pays, de tous les pays de l'Europe. Des boursiers de Rhodes travaillent dans nos gouvernements, et tous on juré allégeance à la Citoyenneté Mondiale.  Souvent, vous entendez que Rockefeller attribue, à leurs petites réunions semi-privée, des allocations de Citoyenneté Mondiale. Pierre Trudeau, au Canada, disait de soi-même qu'il était un "Citoyen du Monde".

Retournons à Weishaupt. Weishaupt était le premier de mettre ce terme en écriture en disant qu'il allait créer une société de Citoyens du Monde. La raison étant, comme je le dis, que de tous les temps cela a toujours été la même organisation sous de noms différents. Il y en a qui disent, et c'est vrai, du moins cela pourrait être très vrai, que cela a ses racines du temps de Babylon, où c'était très difficile de définir Babylon. C'était tout un système de structures, et faisait du marchandisage. La banque monétaire, le commerce international, les impôts, le gouvernement, toutes des choses que nous connaissons aujourd'hui. C'était tout un système de structures, y inclus, bien sûr, l'éducation y est toujours importante puisqu'il faut contrôler les esprits des jeunes et dessiner leur dessin pour eux.

Ils disent qu'Isis était la déesse aux mille visages. Mille noms, mille visages, et cela n'en est pas autrement aujourd'hui. C'est omniprésent. C'est dirigé à la façon jésuite, et ils essayent toujours d'avoir des groupes de façade qui prennent la critique et qui divertissent et tordent la cause. Ils cachent la cause et la distordent pendant que les vrais gars, qui ne doivent jamais se justifier vis-à-vis du public, continuent ininterrompus.

Carroll Quigley a aussi écrit "L'Établissement Anglo-Américain", un livre d'histoire fantastique qui entre encore plus en détail dans des parties de ceci. L'idée embryonnaire de l'unification des pays. L'union de l'Europe. La "Charte de l'Atlantique" anglo-européenne ou britannique, qui a consolidé les politiques des États-Unis avec celles de l'Angleterre, ainsi que, pour le futur, les politiques de l'Extrême-Orient et du Moyen-Orient - ce qu'on vit juste maintenant. Ce livre avait été écrit vers les années 60, et il s'occupait de l'histoire première de ceci.

Maintenant, avant les Nations Unies, le même groupe avait créé la Société des Nations. C'étaient eux qui étaient derrière. Le suivant est de la page 282 de "L'Établissement Anglo-Américain".

"À partir de ce moment, le groupe Milner insistait de plus en plus sur la nécessité de la construction d'un bloc océanique."

En réalité, il parle de la "Charte de l'Atlantique" qui était le fondement et la base pour la Charte des Nations Unies.

"…En Angleterre, le travail de propagande de base s'était fait par les Tables Rondes et Lionel Curtis, alors qu'aux États-Unis, c'était fait par les organisations des boursiers de Rhodes, et en particulier par Clarence Streit et Frank Aydelotte. En Angleterre, Curtis a écrit une série de livres et d'articles préconisant une nouvelle organisation fédérale à être créée autour des pays anglophones. Son œuvre principale dans cette veine était son "Civitas Dei" qui parut en trois tomes entre 1934 et 1937. Une addition d'un tome était sorti en 1938, intitulée "Le Commonwealth de Dieu". Les deux premiers tomes de son œuvre n'étaient rien d'autre que qu'une reprise et une expansion son travail plus vieux, "Le Commonwealth des Nations" par en 1916.  "Par une réécriture superficielle et fréquemment erronée de l'histoire mondiale..."

Ceci est très important, parce que H. G. Wells faisait le même chose avec d'autres auteurs au même moment.

"…Par une réécriture superficielle et fréquemment erronée de l'histoire mondiale, les auteurs recherchaient à revoir l'évolution de l'idée du Commonwealth et à démontrer que tout de l'histoire mène à son accomplissement et sa réussite en la fédération. Au bout u compte, cette fédération sera mondiale, mais en route, elle doit passer les étapes où la fédération principale est celle des peuples anglophones. Au début de l'année 1937, il préconise de détruire la Société des Nations par la démission en masse des démocraties britanniques. Celles-ci devraient alors prendre l'initiative en formant une nouvelle ligue..."

Il parle des Nations Unies.

"…aussi à Genève, qui n'aurait aucun pouvoir exécutif mais ne consisterait qu'en une sorte de conférence internationale, puisqu'il serait insensé s'attendre à ce que quelconque fédération évolue d'une telle organisation. Un effort parallèle mais bien séparé devrait être fait à créer un Commonwealth international basé sur l'exemple des États-Unis en 1788."

Si on pouvait retourner en arrière dans le temps de Thomas Jefferson, souvenez-vous de ses propres écritures - pas sur lui, mais de lui - dans ses lettres, il disait qu'il espérait que les États Unis d'Amérique seraient une base, non seulement pour une fédération des États-Unis, mais pour les États Unis du Monde. Tout est relié.

"…Ce Commonwealth international différerait de la Société des Nations en ce que ses membres céderaient partie de leur souveraineté, et une organisation centrale agirait directement sur les individus, et non seulement sur des états."

En d'autres mots, ils auraient le pouvoir d'agir directement sur l'individu pour tout type d'impôts, de loi, etc.

"Ce Commonwealth international ne serait formé initialement que par ces états qui ont évolué le plus dans la direction d'obtenir une forme de gouvernement Commonwealth pour eux-mêmes, la démocratie. On se souviendra que cette restriction d'appartenance est ce qu'avait préconisé Curtis pour la Société des Nations à la Table Ronde de décembre 1918. Selon Curtis, le mouvement vers le Commonwealth de Dieu pourrait être commencé par l'union de n'importe quels deux Commonwealth nationaux, peu importe leur taille. Il suggérait la nouvelle Zélande et l'Australie, ou au moins deux de la Grande-Bretagne, puis le Commonwealth international  pourrait être élargi pour inclure l'Inde, l'Égypte, les Pays-Bas, la Belgique..."

La Belgique est très importante puisqu'ils savaient que ce serait là qu'ils allaient implanter le Parlement Européen.

"…la Scandinavie, la France, le Canada, les États-Unis et l'Irlande, mais Curtis était parfaitement conscient que l'obstacle principal à cette union se trouverait dans l'esprit des hommes. Pour surmonter cet obstacle, il se fia à la propagande et il disait que l'instrument principal de la propagande devraient être "les églises et les universités".

Une partie très importante. Très importante, parce qu'on entraine les esprits des jeunes, des avant-gardistes aux universités. Ceux qui vont entrer dans les bureaucraties et les gouvernements.

"…Il ne parlait pas du groupe de Milner, mais si on considère la position au groupe que Lothian (on parle de Lord Lothian) et d'autres lui avaient conférés, il n'est pas surprenant que la source principale de sa propagande peut être trouvées dans ces organismes contrôlés par le groupe."

Eh bien, ce groupe contrôle presque toutes les grandes agences et toutes les fondations mondialement. Ils ont de quantités énormes de richesses à leur disposition pour pousser les ONG. Pour pousser des politiques. De faire avancer les ONG pour exiger, au nom du public, des gouvernements que certaines choses soient faites. Le système soviétique fonctionnait ainsi, et comme je le disais, le système soviétique n'était rien d'autre que le grand "essai", le laboratoire pour le monde entier. Le système soviétique avait été conçu à Londres, en Angleterre, il y a longtemps.

L'argent fait tourner tout dans ce monde. Chaque Président, chaque Premier Ministre de la planète sait que son pays peut être détruit à chaque moment par ceux qui tiennent le jeu et ceux qui accordent des crédits, et pourtant, nous croyons que nous sommes libres et nous pensons que nous sommes démocratiques. Nous ne rencontrons jamais, et la plupart des gens ne connaissent même pas les noms de ceux de la Banque Mondiale, les banquiers mondiaux. La plupart des gens ne savent même pas ce que c'est, l'argent. Il ne pensent pas plus loin que le fait qu'ils peuvent le dépenser.

Mais nous vivons dans un système totalement contrôlé par la science et par la propagande. Comme Platon disait "la musique, les drames, et toute propagande politique sont créés par quelques uns au sommet et puis promu vers le bas au peuple." C'est ce qu'on appelle "Création de culture".

Donc j'espère que ceux qui veulent faire leurs propres recherches vont se procurer ces deux livres. Je ne fais pas de la promotions pour qui que ce soir qui les vend. Vous pourrez faire vos propres recherches pour les trouver. Je pourrais même entrer dans plus de détails parce que j'ai les copies des réunions des membres de différentes années, où ils discutent sur le futur de la planète. Quelques uns de ces livres, qui datent des années 1930, discutent la guerre future avec l'Allemagne. Discutent une attaque possible des États-Unis par le Japon, et quelle chance ce serait de mener les États-Unis dans une guerre et une après-guerre, et aussi de sauver le système soviétique.

Pourquoi ceci était-il si important?

Parce que c'était eux derrière la création et le financement du système soviétique. Le moyen le plus rapide d'amalgamer beaucoup de peuples différents est de les chasser de leur terre, les faire entrer dans les villes (les populations urbaines qu'ils avaient créées), les industrialiser et leur imposer un système standardisé, un gouvernement centralisé.

Rien d'important ne se passe dans l'histoire en dehors de la nature, et même la nature est contrôlée aujourd'hui. Mais rien ne se passe sans que cela ait été planifié ainsi. Entretemps, la presse attise tout le monde pour leur donner la fièvre des élections (ceci est leur propre terminologie). C'est facile à faire. Ils ont conditionné le public à soudainement devenir fous lorsqu'ils voient les clowns et les drapeaux et les ballons, comme dans un cirque, et les gens pense que c'est ça leur espoir. Il y a de l'espoir car quelqu'un certainement va faire la bonne chose un jour.

Les expériences de leur vie leur montrent que cela n'arrive jamais en politique, mais cela ne les empêche pas de contracter le fièvre et de réessayer. On est sur la trajectoire de la tyrannie la plus complète dans un système conçu scientifiquement, qui va. à la fin du compte va oblitérer la capacité de tout le monde de penser pour soi-même en tant qu'individu séparé.

Ceux qui possèdent toujours un cerveau fonctionnel et qui n'ont pas trop été surchargés par des inoculations à leur naissance vont découvrir qu'ils se trouvent dans une génération, la seule dernière génération qui a une chance à faire quelque chose contre tout ceci. Il faut qu'on en parle maintenant, de suite, et il faut s'armer avec sa munition de livres, comme ceux que je viens de mentionner, et il faut exiger des réponses.

Mais le plus important est d'exiger de connaître les organisations et affiliations, les serments prêtés par chacun qui a une juridiction sur votre vie, de l'administration scolaire au policier local aux juges aux cours juridiques aux gouvernements. Seulement alors vous allez découvrir cette fraternité, ce réseau mondial omniprésent. C'est alors qu'il fait exiger qu'ils sortent - et ne cédez pas votre pouvoir à d'autres qui vont vous diriger avant de les avoir examinés très à fond. Quelqu'un qui veut le pouvoir de vous diriger ne peut avoir de secrets vis-à-vis du public.

C'est tout pour ce soir. Bonne nuit, et que votre dieu aille avec vous.

"Money, Money, Money" by Abba

"Argent, Argent, Argent" par Abba

I work all night, I work all day, to pay the bills I have to pay
Ain't it sad
And still there never seems to be a single penny left for me
That's too bad
In my dreams I have a plan
If I got me a wealthy man
I wouldn't have to work at all, I'd fool around and have a ball

Money, money, money
Must be funny
In the rich man's world
Money, money, money
Always sunny
In the rich man's world
Aha-ahaaa
All the things I could do
If I had a little money
It's a rich man's world

A man like that is hard to find but I can't get him off my mind
Ain't it sad
And if he happens to be free I bet he wouldn't fancy me
That's too bad
So I must leave, I'll have to go
To Las Vegas or Monaco
And win a fortune in a game, my life will never be the same

Money, money, money
Must be funny
In the rich man's world
Money, money, money
Always sunny
In the rich man's world
Aha-ahaaa
All the things I could do
If I had a little money
It's a rich man's world

Money, money, money
Must be funny
In the rich man's world
Money, money, money
Always sunny
In the rich man's world
Aha-ahaaa
All the things I could do
If I had a little money
It's a rich man's world
It's a rich man's world
 

je travaille toute la nuit, je travaille toute la journée, pour payer les factures dues
n'est-ce pas triste
mais il semble qu'il n'y ait jamais un seul sou qui me reste pour moi
c'est dommage
dans mes rêves, j'ai un plan
si je me prenais un homme riche
je ne devrais pas travailler du tout, je jouerais et je m'amuserais

Argent, argent, argent
doit être drôle
dans le monde des riches
Argent, argent, argent
toujours ensoleillé
dans le monde des riches
Aha-ahaaa
tout ce que je pourrais faire
si j'avais un peu d'argent
le monde est aux riches

un homme comme ça est dur à trouver mais j'y pense tout le temps
n'est-ce pas triste
et si par hasard il était libre, je parie qu'il ne voudrait pas de moi
c'est dommage
donc, il faut que je parte, je dois aller
à Las Vegas ou Monaco
et gagner une fortune en jouant, ma vie ne sera plus jamais la même

Argent, argent, argent
doit être drôle
dans le monde des riches
Argent, argent, argent
toujours ensoleillé
dans le monde des riches
Aha-ahaaa
tout ce que je pourrais faire
si j'avais un peu d'argent
le monde est aux riches

Argent, argent, argent
doit être drôle
dans le monde des riches
Argent, argent, argent
toujours ensoleillé
dans le monde des riches
Aha-ahaaa
tout ce que je pourrais faire
si j'avais un peu d'argent
le monde est aux riches
le monde est aux riches